HALTE A L'IMPOSTURE ARLIKOVITCH ET APPEL AUX ACCORDS DE DESISTEMENT RECIPROQUE ENTRE UMP ET FRONT NATIONAL POUR EMPECHER LA MAJORITE ABSOLUE DU PS

             Bon, maintenant que le faux suspence "Arlikovitch" est levé, il importe de constater que le Parti Socialiste n'est pas qualifié pour donner des leçons à l'U.M.P. sur ses relations avec le Front national, lui qui s'allie sans scrupule avec cette frange de l'extrême-gauche que l'on appelle le "Front de gauche" de ce grotesque personnage qui n'hésitait pas il y a peu à vanter les mérites de Fidel Castro!

Certes, l'U.M.P. aurait pu et peut-être du se conformer au "ni-ni" si Catherine Arlikovitch s'était retirée, éliminant ainsi les chances de "Marionnette" d'accéder à l'Assemblée Nationale mais, comme elle se maintient sans être exclue du Parti Socialiste, l'U.M.P. ne doit plus rien et a le droit de passer des accords avec le Front national, au moins au même niveau que le P.S. avec le Front  de Gauche!

                   La réalité est certes plus complexe car il y a des chances que cela ne puisse se faire au niveau des états-majors parisiens, en raison d'accords impliscites plus ou moins opaques du même ordre que ceux qui ont incité le gouvernement précédant à financer les media gauchistes avec l'argent du contribuable ce qui n'est pas l'une des moindre erreurs du Président Sarkozy. Mais cela peut et doit se faire au niveau local, comme l'a indiqué le député sortant de St-Gilles-du-Gard Etienne Mourut.

Le fait est que, dans deux circonscriptions au moins, la deuxième circonscription du Gard certainement avec Gilbert Collard et la seizième circonscription des Bouches-du-Rhône avec Valérie Laupies de manière moins certaine mais avec un effet croustillant puisque l'on aurait cette fois le député socialiste sortant et pas le moindre Michel Vauzelle battu,, la disposition des candidats U.M.P. permettrait l'élection de deux députés Front national au détriment du Parti Socialiste.

Il serait ensuite facile de demander une réciprocité au Front national, je pensais notamment à la  deuxième du Var voire à la huitième et à la cinquième du Vaucluse, de manière à assurer la réélection du député U.M.P. sortant, à charge pour le Front de vérifier s'il s'agit d'un député "valable". Et si jamais le Front refuse, la droite parlementaire n'y perdrait rien puisque la gauche gagnerait de toutes les façons et, de surcroît, la mauvaise volonté pourrait cette fois lui être imputée directement puisqu'une réciprocité minimale n'aurait pas été respectée.

Car la fameuse recomposition de la droite qu'appelle Marine de ses voeux à juste titre suppose justement ce type d'accords, c'est ce qu'elle ne précise pas assez, en même temps qu'un nombre minimal de députés pour sa formation ainsi que l'aile droite de la majorité sortante.