ELECTORAT "CONSERVATEUR" ET ELECTORAT "DE GAUCHE DURE" JAMAIS AUTANT "COURTISES"...PAR LES MEMES!

Aux dernières nouvelles, Emmanuel Macron serait opposé à la G.P.A., "combat "-clef de la "Manif Pour Tous" qui, on le sait, a plutôt choisi François Fillon à la primaire des "Républicains" comme, dans une moindre mesure, au premier tour de l'élection présidentielle!

Si peu crédible cela soit-il de la part d'un candidat qui, bénéficiant d'un exceptionnel soutien médiatique (pour des raisons déjà évoquées), dire tout et n'importe quoi en fonction non d'un calcul "ciblé" comme cela était devenu la "règle" des candidats du "Système" mais du produit d'une analyse algorithmique et qui, de toutes les façons-mais les plus avertis des opposants à la loi Taubira comme Jean-Frédéric Poisson l'avaient déjà perçu-, sachant que cela aurait aussi été le cas de François Fillon, ces mesures auraient été "imposées" par l'Union européenne, ce n'est pas innocent.

Une partie de l'électorat "conservateur" non politisé, du moins celui des quartiers aisés des agglomérations et, dans une bien moindre mesure, celui des provinces et campagnes de l'Ouest de la France, plus "enraciné" et plus "dynamique" (et aussi moins touché par l'immigration massive), ces deux électorats se "recoupant" partie et le premier bénéficiant d'une certaine "aura" sur le second, étant plutôt rétifs à l'idée vraie ou fausse d'une sortie de l'Union européenne et surtout de la "zone euro" se produisant après une victoire de Marine Le Pen, s'avère aussi rétif à l'image "libertaire" de la Matrice. C'est donc un "signal" vers ce dernier analogue à l'annonce de la nomination de Nicolas Dupont-Aignan, plus crédible auprès de lui y compris sur les questions européennes.

Alors, un pronostic? J'aurais tendance à dire que, la "dynamique Whirepool" peut en soi garantir à Marine Le Pen de dépasser la barre des 40% mais cela dépend aussi des "votes d'anticipation" en ce jour férié.

Voire, espérons-le, d'une nouvelle "gaffe" du candidat choisi tel qu'il est malgré tout capable de les accumuler, au vu de son "ignorance profonde" de ce qui fait la France d'un point de vue historique et "identitaire".